Textes
Trois formes d’hypnose
- Une hypnose conventionnelle :
La personne est assise confortablement, relaxée et je m’adresse directement à son inconscient par des suggestions en fonction de la problématique.
L’hypnose est un état modifié de conscience par lequel il est possible d’entrer en relation directement avec l’inconscient de la personne pour y apporter des suggestions.
Celles-ci seront prises en compte ou non par l’inconscient de la personne.
L’hypnose est également un moyen de diminuer la vigilance du conscient de la personne dans la mesure où la part qui contrôle est occupée à autre chose.
Je ne pratique pas de régression dans le passé dans laquelle la personne se met à raconter l’origine de ses traumas.
2. Une hypnose conversationnelle :
J’utilise une structure linguistique qui génère de la confusion et la partie qui contrôle est décontenancée. Cela permet de stimuler une ouverture dans la situation problématique.
Il s’agit d’une discussion en face-à-face dans laquelle, à un moment donné, je rebondis sur ce que la personne exprime pour tisser une ressource grâce à la confusion générée par les mots répétés, des mots imbriqués, des mots à contresens, des changements des repères temporels, une histoire décalée, une métaphore qui ne veut rien dire… en apparence… Cette approche est particulièrement efficace tout en étant légère.
3. La métaphore régressive :
J’utilise en troisième lieu, une métaphore s’adressant au petit enfant d’autrefois, à cet aspect de la personne qui est resté bloqué dans sa croissance. Je parle alors de la petite-fille ou du petit garçon d’autrefois qui est encore aujourd’hui dans l’attente d’attention, de sécurité…
Cette métaphore permet d’apprendre à la personne à prendre soin de cette part, d’en prendre soin elle-même, de ne plus avoir à dépendre de quelqu’un.
De cela découle la perspective de prendre sa vie en main, de se prendre en charge soi-même, de ne plus être dans une attente désespérée de l’autre.
Le fondement même de mon approche est de stimuler la personne à prendre la responsabilité de sa vie, de ses choix conscients et inconscients
En ce sens, tout ce qui est addiction, par exemple le tabac, l’alcool, le sexe, le travail, ou toute autre forme excessive de comportement, n’est que l’expression d’une anxiété, d’une angoisse profonde liée soit à un traumatisme en cours de vie adulte, soit à une situation enfantine.
Quoi qu’il en soit, cette angoisse se manifeste dans le présent, la personne se sent enserrée, oppressée et à l’impression de ne pouvoir s’en sortir, comme si c’était plus fort qu’elle.
La plupart du temps il y a une solution, celle-ci demande un engagement actif de la personne demandeuse.
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De la dépendance à l’inter-dépendance
Lorsque le petit naît
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Ho’oponopono, pour trouver la paix
Je partage avec vous l’adresse du site : devenir-zen, qui offre une explication documentée, simple et claire, non culpabilisante, de cette approche traditionnelle pour trouver la paix en Soi avec les autres dans la mansuétude divine.
Merci
Extraits :
Le mot Ho’oponopono signifie « corriger ce qui est erroné » ou « rendre droit ». On pourrait résumer par « revenir à ce qui est juste » ! D’ailleurs, vivre « pono » pour un hawaïen veut dire vivre aligné, dans l’équilibre et le pardon. Il y a une quête de pureté de cœur en quelque sorte.
« Désolé », je ne savais pas qu’il y avait en moi cette mémoire qui a créé ce problème et cela me rend triste. On reconnaît le conflit. « Pardon » à la Vie et à moi-même. « Pardon » car je prends ma part de responsabilité et je souhaite réparer.
Dire « désolé, pardon » ne signifie pas être coupable. Il s’agit plutôt d’une demande d’excuse pour l’évènement disharmonieux produit par nos pensées. Nous ne savions pas que nous avions cette mémoire négative et nous n’avons pas fait exprès de créer ce problème. Demander le « pardon » est également libératoire et permet de couper le lien avec ces mémoires. Avec humilité, nous nous adressons à Dieu (l’Univers…) pour demander pardon d’avoir eu ces pensées et d’avoir créé cette situation désagréable. Dans tout conflit, nous avons toujours une responsabilité, aussi minime soit-elle.
« Merci » de m’avoir indiqué le problème que je portais en moi sans le savoir. « Je t’aime » ou plutôt je vous aime tous (moi, les autres, la Vie, mes mémoires…).
Dire « merci, je t’aime », deux mots magiques, permet d’exprimer sa gratitude à Dieu (l’Univers). « Merci » pour cet évènement auquel nous devons faire face, qui est la manifestation de nos mémoires erronées et qui nous permet de prendre conscience du nettoyage à réaliser. « Merci » d’avoir réveillé en moi cette mémoire qui me limite et qui va me permettre de croître. Le « pardon » ouvre le cœur et le « je t’aime » permet à la lumière (divine) d’y entrer. Dire « je t’aime » libère le meilleur de nous. Les mémoires négatives ne sont pas détruites mais transmuter par la lumière. Le « je t’aime » nous envoie une énergie d’Amour ainsi qu’à Dieu (ou l’Univers). On pourrait aussi bien dire « je m’aime ».